Devant la presse ce vendredi, le député de la première circonscription est revenu sur les combats de ces derniers mois

Quand on est député, on travaille et c’est bien parfois de l’expliquer au grand public. Faute de traditionnelle cérémonie de vœux, Olivier Falorni, le député de la première circonscription (La Rochelle-Ré) – qui a rappelé son indépendance et sa liberté au sein de l’Assemblée nationale – avait convié la presse dans sa permanence pour tirer un bilan de la fin d’année et revenir sur « ses combats qui lui tiennent à cœur ».

 

Sur le droit à mourir dans la dignité, Olivier Falorni est assuré d’avoir remporté une première victoire sur l’opinion publique « mais la loi ne pourra pas être réinscrite d’ici la fin du quinquennat ». « On a demandé aux candidats à la présidentielle de s’engager. J’entends dire que le président pourrait s’en remettre à une convention citoyenne sur le sujet. Ce qui ne me semble pas une bonne idée. » Alors qu’un rapport sur les prisons vient d’être remis au garde des Sceaux, Olivier Falorni a évoqué sa mission sur la radicalisation islamiste en milieu carcéral, s’inquiétant de la libération en 2023 de 200 détenus radicalisés.

 

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