Question écrite – Moyens des mouvements coopératifs agréés comme l’ICEM

J’ai attiré l’attention de Monsieur le Ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse au sujet des sports au sujet des mouvements coopératifs agréés, comme l’Institut coopératif de l’école moderne (ICEM).

 

L’ICEM ne cesse de mettre au point des outils actuellement diffusés par voie numérique à l’attention des élèves et des enseignants de la maternelle au second degré, notamment pendant la crise covid où de nombreux établissements étaient fermés, nécessitant d’encourager le travail individualisé. Ces outils, ces revues préparées par les enfants, ces fichiers de travail individualisés, qui font l’originalité des éditions de l’ICEM, sont unanimement reconnus et diffusés dans de très nombreuses classes. Ils permettent aux élèves de travailler en totale autonomie et de suivre un plan de travail individualisé. Ces ressources, dont certaines sont en ligne, sont intégralement conçues, préparées et testées dans les classes par les enseignants et les élèves eux-mêmes, ce qui en fait l’originalité et l’efficacité.

 

Cette production d’idées, de pratiques, d’outils pour la classe et pour les enseignants est le fruit du travail des enseignants de ces associations qui ne ménagent pas leur temps : un temps bénévole pour beaucoup mais solidement coordonné, animé, organisé par des enseignants mis à disposition par l’éducation nationale mais dont les effectifs sont actuellement faibles par rapport à l’investissement fourni.

 

Or la chute des moyens alloués d’année en année place désormais ces organismes, dont l’ICEM, dans une situation critique et, pour certains, pose le problème de la pérennité de leurs actions en cours et à venir. L’utilité publique et l’intérêt général de ces mouvements pédagogiques sont pourtant incontestables.

 

C’est pourquoi je lui ai demandé quels moyens il compte mettre en œuvre pour assurer la pérennité des mouvements coopératifs agréés tels que l’ICEM.

 

Pour prendre connaissance de la réponde de Ministre